C'est l'essai sur les relations de l'individu avec la societe selon la theorie d'un philosophe francais, Henri Bergson. Ces relations sont mises a la complementarite simultanee entre le moi individuel et le moi social dans Les deux sources de la morale et de la religion (1932), mais elle ne peut etre atteint que par commencer la reflexion bergsonienne sur la theorie de la connaissance. La reflexion nous donne d'abord la petition de principe dont des contrats sociaux nous amenaient rationnellement a l'ordre social. Pourtant nous perdrons la raison de l'obligation morale par laquelle nous a ete obligee, les habitudes renouvelees qui constituent les elements de l'obligation morale expliqueraient qu'il n'y a pas d'obligation et qu'il y a seulement des renouveaux avec deux memoires changees. Cet article essai que ces memoires indiquent le moi individuel et le moi social, alors les habitudes nous montrent simultanement la complementarite du moi individuel et social par les renouveaux. La complementarite entre le moi individuel et le moi social est nos relations avec les personnes; le premiere explique nos relations qui peut maintenir la continuite avec les autres personnes; le deuxieme est notre personnalite originale, incommensurable avec les autres. Ces deux aspects du moi se completent bien par le sens social ou le bon sens qui suggerent la reflexion bergsonienne. Nous arriverions a une conclusion que le moi individuel et le moi social ne peuvent etre pas isoles l'un et l'autre, et cette conclusion ne peut atteint que par mettre en question depuis la terre de la theorie de la connaissance.